Photo de Debbie Clark Photography.
C’est une joie d’accueillir l’auteur à succès et mon copain Kate sur le blog….
Mars était le Mois de l’histoire des femmes. Un mois qui vise à célébrer, découvrir et autonomiser les femmes et c’est quand j’ai écrit cet article en préparation de la sortie de mon nouveau livre.
Célébrer. Découvrir. Habiliter.
Ces trois mots ont eu une résonance curieuse alors que je m’asseyais dans un pub rempli de soleil dans l’ouest de Londres le mois dernier, entouré d’un creuset de talent.
Infirmières. Artistes. Écrivains. Couturières. Blogueurs. Acteurs. Nutritionnistes. Fabricants d’artisanat. Entrepreneurs. Influenceurs sociaux. Journalistes. Concepteurs. Conteurs.
Nous nous étions tous rassemblés sous le couvert d’une réunion de réseautage organisée par la puissance sociale qui est une maman honnête, Vicki Psarias-Broadbent. Pour moi, le réseautage suggère des costumes brillants et des salles de fonction sans âme hors du M25, des cartes de visite et de la jovialité forcée.
Vicki et Maggy Woodley de l’événement de réseau de Creativewomen de Red Ted Art ne savaient rien de tout cela. C’était clair et couleur. conversation et rire. Bon café chaud, bulles réfrigérées et nourriture délicieuse et saine. Plus important encore, il s’agissait d’un rassemblement de femmes créatives et innovantes, déterminées à mettre leur art dans le monde.
Nous avons entendu des discussions et échangé des idées sur la façon de maximiser notre présence sur tous les réseaux sociaux et de créer des plateformes solides. Nous avons également appris le pouvoir de la cohérence et de l’authenticité. Chaque expert a parlé de manière convaincante de surmonter l’adversité, de trouver sa voix et de croître en toute confiance. Mais le sentiment qui a traversé tout comme un fil d’or était celui de l’autonomisation et du soutien mutuel.
“En tant que femmes, nous devons vraiment exploiter l’idée de la fraternité”, a déclaré Maggy Woodley.
En disant cela, Maggy a tout de suite donné une voix au récit. Cela a été cimenté davantage lorsque Vicki a accueilli une vente aux enchères de compétences de style Swap Shop Sotique qui lui a d’abord été présentée par Jessica Huie MBE, où les participants déclareraient ce qu’ils recherchaient en termes de soutien commercial et ce qu’ils pouvaient offrir à quelqu’un en retour.
“Je peux offrir des conseils sur la façon de construire votre marque de médias sociaux en échange d’une séance de photographie”, a exprimé Joanne Szczyglowski, infirmière et fondatrice d’Ealing Mummy. Les offres et les offres de comptoir sifflaient bientôt dans la pièce, et au moment où tout le monde s’est répandu dans le soleil brillant du printemps, nous avions tous une idée tangible de la façon dont nous pouvions utiliser nos compétences pour aider les autres.
Bien sûr, ce n’est pas nouveau. Pour les femmes nées dans la première moitié du 20e siècle, la fraternité était inhérente à leurs communautés.
L’ère que j’écris, la Grande-Bretagne en temps de guerre dans la communauté très unie de l’Est de Londres, en termes simples, n’aurait pas survécu sans la fraternité et la solidarité féminine.
J’ai écrit quatre romans qui se déroulent dans l’East End et, ce faisant, j’ai commencé à comprendre la richesse et la complexité d’une société matriarcale et la pléthore de rôles que les femmes ont assurés avant la formation de l’État providence les institutionnalisés.
Les femmes dans les tabliers croisés et les bottes boutonnées étaient le cœur battant de l’East End. Ce sont ceux qui ont régné sur les pavés, gardé les enfants nourris, ont fait naître les bébés de la rue lorsqu’il n’y avait pas de sage-femme à appeler, et a inversé les morts, tout en intervenant dans les litiges et en tant que prêteur en argent et conseiller conjugal. Il y avait toujours une femme en chef à portée de main pour soutenir, protéger et se rallier.
Dans mon nouveau roman de guerre – The Allotment Girls, se déroulant chez Bryant & May Match Factory à Bow – j’ai tissé l’un des actes les plus explosifs et durables de l’histoire de la solidarité féminine.
Cet été marque le 130e anniversaire d’une grève largement oubliée qui a changé le cours de la vie des femmes qui travaille à jamais. En juillet 1888, 1 400 femmes sont sorties de Bryant & May Match Factory et dans les livres d’histoire.
La plupart des gens connaissent les conditions qui ont déclenché la marche. Les femmes issues de bidonvilles incrustées de suie ont été forcées de travailler pour une bouchée de rotation, tombant en proie de la tristement célèbre mâchoire phossy – la maladie macabre causée par le phosphore blanc qui a provoqué la mâchoire et les dents de la victime à s’effondrer et à putrifier.
On sait moins sur les femmes elles-mêmes.
“ L’exploitation des patrons de Greedy Factory est vraie, mais le rôle des filles de Match Girls en tant que victimes Meek et Waif, a été mal comprise ”, soutient Louise Raw, dont le livre, frappant une lumière, le Bryant et May Matchwomen et leur place dans l’histoire, J’ai lu comme de recherche.
«C’est une croyance communément considérée que les femmes ont été conduites en grève par un socialiste de la classe moyenne du nom d’Annie Besant, mais ces attaquants n’avaient besoin d’aucune aide extérieure et étaient loin des victimes opprimées. En utilisant de forts liens de solidarité de la classe ouvrière et d’ingéniosité féminine, ces femmes courageuses se sont organisées et ont incité la grève, pas Annie Besant. »
«Tenez toujours la tête. N’oubliez pas que vous êtes aussi bon que quiconque », a exhorté Mary Driscoll, une figure clé de la grève.
Avec un fanfaron audacieux, cette dure tribu de femmes a marché avec défi de l’arc aux maisons du Parlement enLeurs chapeaux en velours et à plumes, forçant leurs patrons à une montée embarrassante, dans laquelle ils ont cédé aux demandes des grévistes.
Quelque 130 ans nous sépare des matchs de match frappants de l’arc, et nous ne commencerons jamais à comprendre la pauvreté et la privation qui ont été leur combat quotidien. Leurs batailles ne seront jamais les nôtres. Mais leurs méthodes peuvent l’être.
Cette année marque l’anniversaire de tant d’autres événements importants de l’histoire de l’Est de Londres. Cela fait 100 ans que la Fédération des suffragettes de l’Est de Londres a aidé à obtenir le vote pour (certaines) femmes, et 50 ans depuis que les machinistes de couture de Ford de Dagenham se sont mis en grève pour un salaire inégal. Il y a aussi tellement d’autres femmes de l’East End, dont les histoires manquent dans les livres d’histoire et donc leurs étapes ne sont pas marquées.
L’égalité de rémunération, le droit de vote, les conditions améliorées à la maison et au travail, toutes sont venues parce que les femmes ont réalisé qu’en se regroupant, elles ont une voix plus forte. Pourquoi ne suivons-nous pas le pas? Alors que le pays célébrait #womenshistorymonth, dont avez-vous choisi la voix?
Kate Thompson est auteur de The Allotment Girls, se déroulant dans Bryant & May Match Factory pendant la Seconde Guerre mondiale, publiée dans le livre de poche publié le 22 mars par Pan Macmillan. Disponible sur commande maintenant sur E-Book.
Site Web: www.katethompsonmedia.co.uk
Twitter: @ Katethompson380
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